Publié le 25-09-2016
Selon l’OMS, les besoins non satisfaits de contraception restent élevés dans de nombreux contextes et le sont davantage parmi les plus vulnérables de la société : les adolescents, les pauvres, les personnes vivant en milieu rural et dans les taudis urbains, les personnes vivant avec le VIH et les personnes déplacées à l’intérieur de leur pays. Les dernières estimations établissent à 222 millions le nombre de femmes dont les besoins de contraception moderne ne sont pas satisfaits, et les besoins sont les plus grands là où les risques de mortalité maternelle sont les plus élevés.
La Journée mondiale de la contraception est l’occasion pour Afrique Avenir de rappeler que « Les différentes dimensions des droits de l’homme doivent systématiquement et clairement être intégrées dans la fourniture de l’information et des services en matière de contraception.». L’amélioration de l’information ainsi que l’éducation des jeunes sur les différentes options en matière de contraception leur permet d’avoir une maîtrise de leur corps et les inciter à prendre des décisions en connaissance de cause.
En matière de contraception circulent les informations erronées et les rumeurs. Vous trouverez sur cette page les réponses aux questions qui sont fréquemment posées aux médiateurs/trices santé d’Afrique Avenir sur les nombreux moyens de contraception: pilule, stérilet hormonal, stérilet au cuivre, implant, patch, préservatif interne (féminin), préservatif externe (masculin) ,anneau vaginal.
Publié le 22-08-2016
Afrique Avenir a la tristesse de vous annoncer la destruction méchante de son outil de travail. Il s’agit de son Unité mobile de dépistage du VIH/Sida et hépatites qui a été incendiée dans la nuit du 26 juillet 2016.
Afrique Avenir attend les conclusions de l’enquête de police pour connaitre l’origine de l’incendie.
Véhicule financé par Sidaction avant l’incendie
Publié le 19-06-2016
Ce dimanche 19 juin 2016 est célébré la journée mondiale de la lutte contre la drépanocytose. Cette maladie génétique du sang affectant plus particulièrement les populations noires est encore méconnue. La lutte contre la drépanocytose figure parmi les priorités de l’Association Afrique Avenir depuis 1996 à travers son projet SEDAM.
En France, 441 enfants drépanocytaires ont vu le jour en 2013, soit une prévalence d’un enfant atteint pour 1 900 naissances. Ce chiffre en fait la maladie génétique la plus fréquente en France. Toutefois cette prévalence est beaucoup plus importante dans les départements d’outre-mer (1/419) et en région parisienne (1/874) où se concentrent les populations originaires d’Afrique subsaharienne.
Focus sur la drépanocytose
Publié le 17-05-2016
Afrique Avenir se joint à la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, qui se tient le 17 mai de chaque année. Cette journée a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l’homophobie, la lesbophobie la biphobie et la transphobie.
En janvier 2016 Afrique Avenir a mis en place des moyens concrets de lutte contre l’homophobie en diffusant un calendrier pour promouvoir le développement de relations harmonieuses entre les citoyens et citoyennes, indépendamment de leur orientation sexuelle ou identité de genre.
Publié le 07-05-2016
Afrique Avenir a commencé depuis le 3 mai 2016 les activités de terrain de l’AfroBaromètre Santé 2016.
L’AfroBaromètre Santé est une enquête sur les infections liées aux virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et des hépatites C et B organisée par l’agence nationale de santé publique (ANSP)/Santé publique France et l’association Afrique Avenir auprès des populations africaines et caribéennes d’Ile-de-France.Cette enquête a pour objectifs :
L’AfroBaromètre Santé se déroulera dans des lieux communautaires dans lesquels l’association Afrique Avenir mène généralement des actions de prévention. L’étude durera huit semaines, en mai et juin 2016.
Les résultats de cette enquête permettront d’améliorer les actions de prévention, de dépistage et de prise en charge auprès des populations originaires d’Afrique subsaharienne et des Caraïbes.
Télécharger la lettre d’information aux participants de l’AFROABROMETRE 2016
Publié le 01-05-2016
Le 24 avril 2016, l’Afrique a perdu une icône musicale et culturelle : l’artiste musicien Jules Shungu Wembadio Pene Kikumba connu sous le nom de Papa Wemba est décédé sur scène, à Abidjan, à l’âge de 66 ans. Après l’émotion et la tristesse, l’Association Afrique Avenir présente ses condoléances à la famille de l’illustre disparu, et rend un vibrant hommage à l’ami fidèle, et à l’artiste engagé qui nous a quittés.
Partenaire fidèle, Papa Wemba a su mettre sa notoriété, ainsi que sa compétence musicale au service des associations qui militent pour la promotion des droits humains, tant en Afrique que dans sa diaspora. C’est ainsi qu’il n’hésitait pas à répondre avec beaucoup d’humilité aux sollicitations de l’Association Afrique Avenir, pour s’impliquer dans les campagnes de sensibilisation sur le VIH/Sida auprès des populations originaires d’Afrique subsaharienne et des Caraïbes en France : réalisation de l’affiche et la vidéo du concert « Ekoyela yo okoyeba te » filmé le 25 janvier 1998 au Théâtre de l’Empire à Paris. (suite…)
Publié le 28-03-2016
Afrique Avenir est partenaire de la campagne lancée du 28 mars au 22 avril 2016 par l’Institut de Recherche Anti-Contrefaçon de Médicaments (IRACM) qui a pour thème: La contrefaçon des médicaments: un enjeux de santé publique.
Les médicaments contrefaits ou falsifiés sont produits illégalement en dehors de tout contrôle sanitaire, peuvent être réellement dangereux pour notre santé, voire mortels.
Ils représentent selon l’Organisation mondiale de la Santé pas moins de 10 % des médicaments en circulation dans le monde, touche particulièrement l’Afrique. Ces produits « ne contiennent pas la quantité attendue de substance active et ne répondent à aucune des exigences de qualité, d’efficacité et de sécurité exigées ».
La contrefaçon de médicaments: un enjeux de santé publique
Publié le 27-03-2016
Face au développement des pratiques de dépigmentation volontaire et aux risques encourus par les utilisateurs, Afrique Avenir a mis en place depuis 2001 le Projet Ebène. Une journée de réflexion avait était organisée en partenariat avec Label Beauté Noire avec la la participation d’un sociologue et d’un dermatologue.
Les produits utilisés pour la dépigmentation de la peau sont présentés sous forme de crèmes, gels, laits corporels ou savons. Ils sont appliqués sur tout le corps seuls ou en association, une ou plusieurs fois par jour, le plus souvent pendant des années. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a lancé une alerte depuis 2011 pour informer la population que ces produits exposent les utilisateurs à des risques pour leur santé. Il s’agit, dans la majorité des cas, de maladies de la peau (infections, acné, vergetures, atrophie, troubles de la pigmentation, etc.). Ces pratiques peuvent également être à l’origine d’un risque accru notamment de diabète et d’hypertension artérielle, de complications rénales et neurologiques. Enfin, cela expose l’enfant à des risques toxiques en cas d’utilisation chez la femme enceinte ou allaitante.
Liste des produits éclaircissants identifiés comme dangereux et non conformes
Télécharger la liste des produits éclaircissants identifiés comme dangereux et non conformes pdf
(suite…)
Publié le 25-03-2016
Le Conseil d’Administration d’Afrique Avenir a la profonde douleur de vous annoncer la subite disparition de Bernard Virot, trésorier de l’association et gérant bénévole de sa filiale Afrique Avenir Diffusions. Bernard aura mis au service de l’association son expertise d’expert-comptable, sa fidélité à l’Afrique, toujours avec la même discrétion, la même efficacité. Que sa famille trouve ici l’expression de notre fraternelle et amicale solidarité.
Bernard Virot à la fin de l’Assemblée Générale d’Afrique Avenir 2015
Publié le 27-02-2016
Afrique Avenir a participé aux travaux d’élaboration du rapport « Vers Paris sans Sida ». Ce rapport a été présenté le 1er février 2016 par Mme France LERT à Mme Anne HIDALGO, Maire de Paris, en présence des représentants du monde associatif, médical, scientifique et des administrations de la santé.
Télécharger le rapport « Vers Paris sans Sida »